24 mars 2010 3 24 /03 /mars /2010 11:00

    " Travailleurs avec ou sans emploi, même combat ! "

 

P.S: Pour une meilleure visibilité, cliquez sur la vidéo après l'avoir lancée...

 

 

Georgen Pascal

T.S.E. Luxembourg

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19 mars 2010 5 19 /03 /mars /2010 20:17

Cherchez pas y'a rien...

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19 mars 2010 5 19 /03 /mars /2010 20:08

A l’heure où se tient le débat sur l’accompagnement et le contrôle de la disponibilité des chômeurs, on doit bien constater l’absence de volonté de refonte du système de contrôle pour laisser place à des modifications à la marge. La FGTB tient à rappeler ses positions et les raisons pour lesquelles elle ne peut être satisfaite des orientations prises par la ministre de l’Emploi en la matière.

Pour la FGTB, les problèmes majeurs de ce qui se trouve sur la table du gouvernement aujourd’hui sont que :

- les tentatives de réponses sont défensives: elles s’inscrivent dans une logique de petits pas qui ne prend pas suffisamment en compte la véritable finalité de toute politique d’Emploi digne de ce nom : le maintien et la création d’emplois durables et de qualité dans les activités économiques existantes ou dans de nouvelles filières d’avenir (dans le cadre d’un Plan de relance offensif au niveau national et européen) ;
-les propositions en discussion ne prennent pas suffisamment en compte le contexte socio-économique auquel sont confrontés les travailleurs : chaque jour, 350 emplois passent à la trappe. Ce sont autant de travailleurs condamnés à aller gonfler les rangs du chômage. Ils ne l’ont pourtant pas décidé.
Et l’on n’enraye pas les sanctions ! Pour rappel, dans le cadre de la disponibilité en 2009, 14.415 suspensions ou exclusions ont été notifiées et 3.272 allocations ont été réduites pour les neuf premiers mois de l’année, ce qui correspond à 17.687 sanctions (contre 10.948 suspensions ou exclusions pour l’ensemble de 2008).

Ainsi, la FGTB déplore:

  • que l’on n’ait pas cru bon d’instaurer un moratoire du contrôle de disponibilité puisque les travailleurs qui ont été licenciés ou qui sont sans emploi sont, pour la grande majorité d’entre eux, confrontés à l’absence d’emploi (32 demandeurs d’emploi (voire plus) pour une offre d’emploi dans certaines sous régions) ;
  • que l’on ne souhaite manifestement pas mettre le holà au harcèlement administratif dont sont victimes les travailleurs sans emploi. Un accompagnement individualisé au niveau régional devrait en effet pouvoir libérer le chômeur d’un contrôle supplémentaire au niveau fédéral ;
  • que l’ONEM doive encore intervenir quand le demandeur d’emploi a fait l’objet d’un rapport positif de la part du conseiller emploi (FOREM, ACTIRIS, VDAB) ;
  • que les +50 ans continuent à faire l’objet des procédures mises en place…Va-t-on vraiment aller demander à un travailleur qui serait licencié de chez Carrefour et qui a plus de 50 ans pourquoi il ne retrouve pas de travail ?

Certaines propositions en discussions sont en demi-teinte mais constituent néanmoins un allègement des dispositifs pour les demandeurs d’emploi. On pense en particulier:

  • à l’accompagnement adapté pour les demandeurs d’emploi « éloignés du travail ». Cependant, le problème reste entier et la clarté n’est pas faite sur ce que l’on entend par « éloigné de l’emploi » ;
  • au traitement identique des travailleurs à temps-partiels, réclamé par la FGTB ;
  • à la fin du carrousel de contrôle après le troisième entretien positif, tel que demandé par la FGTB ;
  • à la dispense de contrôle pour tout demandeur d’emploi qui a entamé une formation.


Pour la FGTB, force est de constater que la procédure de contrôle de disponibilité n’a pas atteint les objectifs escomptés (remise à l’emploi d’un maximum de chômeurs), a fortiori aujourd’hui, en période de crise économique.

Etant donné le contexte économique et l'impossibilité d'offrir des emplois en nombre suffisant aux demandeurs d'emploi, la FGTB continue à réclamer l’accompagnement accru des chômeurs ainsi qu’un moratoire du système de contrôle de disponibilité avant sa réforme en profondeur.

 

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19 mars 2010 5 19 /03 /mars /2010 20:06
17.3.2010

Nouvelle proposition du gouvernement pour l’accompagnement et le suivi des chômeurs: un grand pas en avant!
La CSC a pris connaissance des nouvelles propositions du gouvernement fédéral qui visent à adapter la politique d’accompagnement et de suivi des chômeurs. Même si ces propositions ne répondent pas à tous les problèmes qui se posent aujourd’hui, la CSC les considère comme un grand pas en avant:

Elles sont conformes au consensus dégagé en 2008 entre partenaires sociaux au sein du Comité de gestion de l’ONEm 2008;
Elles ont été élaborées en commun par les fonctionnaires dirigeants de l’ONEm, du VDAB, du Forem et d’Actiris;
Elles tiennent compte des demandes des Régions, qui souhaitaient une autonomie accrue pour concrétiser les plans d’accompagnement, tout en maintenant l’application uniforme de la réglementation concernant le chômage dans tout le pays;
Elles répondent aux revendications de la CSC et des Régions, qui demandent un accompagnement et un suivi adaptés des travailleurs sans emploi qui sont éloignés du marché de l’emploi;
Et surtout, elles peuvent contribuer à rendre le suivi et l’accompagnement des chômeurs plus efficaces et plus personnalisés.
La CSC demande toutefois que la concertation se poursuive sur plusieurs points qui ne figurent pas pour le moment dans le texte du gouvernement:

Des sanctions plus humaines et harmonisées, en particulier pour les jeunes en fin de scolarité,
L’accès aux mesures pour l’emploi et aux ALE pour les chômeurs sanctionnés,
La dispense pour les personnes qui travaillent déjà à temps partiel.
La CSC reste d’avis que l’assurance-chômage est basée tant sur des droits que sur des devoirs. Sans devoirs, les droits seraient eux aussi remis en cause. La CSC demande cependant que toutes les institutions appliquent le cadre adapté en faisant preuve de l’humanité et de l’équité requises, compte tenu des lourdes conséquences de la crise financière sur le marché de l’emploi. Ce ne sont pas les chômeurs qui ont provoqué la crise financière.

Diana DE CROP, responsable des relations presse, 02.246.32.84.

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18 mars 2010 4 18 /03 /mars /2010 11:07
Bruxelles, le 9 mars 2010



Pas d'accord au sein de la majorité sur la révision de la politique de chasse aux chômeurs

La majorité a choisi de ne pas choisir et poursuit sa politique inefficace et socialement catastrophique

Ce mardi 9 mars, une évaluation de la politique d'activation des chômeurs a été réalisée en commission « affaires sociales » de la Chambre. Malgré le désastre social provoqué, le gouvernement n'a pas réussi à s'accorder pour réformer cette politique.

Face aux nombreuses critiques, émanant notamment de plusieurs conseils communaux, et vu le contexte de crise actuel qui laisse émerger peu d'offres d'emploi, les partenaires de la majorité fédérale avaient enfin décidé de réagir en organisant aujourd'hui l'évaluation que nous demandons depuis longtemps. Cette évaluation n'a débouché sur aucune mesure corrective, légitiment espérée, faute d'accord au sein du gouvernement.

La politique d'activation des chômeurs a été mise en place par la majorité violette en 2004. Cette politique a rapidement transformé l'accompagnement des demandeurs d'emploi et la lutte, essentielle, contre le chômage et en une chasse éhontée, aboutissant à l'exclusion du chômage d'un grand nombre des demandeurs d'emploi et à une diminution artificielle des chiffres du chômage. Plusieurs points noirs du plan sont ainsi rapidement apparus :

- 1) Il apparait clairement que ce sont les plus faibles qui sont dans une très large majorité victimes de ces exclusions : les familles et isolés avec les qualifications les plus faibles, les personnes souffrant d'analphabétisme ou de problèmes sociaux et de santé importants. En somme, ces exclusions touchent les plus précarisés des précarisés.

- 2) Une série de sanctions apparaissent comme tout simplement surréalistes. Citons ainsi à titre d'exemple :

· les demandeurs d'emploi qui sont exclus parce qu'ils ne seprésentent pas pour une place pour laquelle ils ne sont pas qualifiés,

· les personnes ne sachant ni lire ni écrire, ne possédant ni cv ni lettre de motivation qui sont pourtant obligées de répondre à 3 offres d'emploi par mois sans que ne leur soit proposé de réaliser un CV et une lettre de motivation avec l'aide du Forem, d'Actiris ou du VDAB,

· ...

- 3) Pour les facilitateurs de l'Onem, il manque de balises claires afin d'appliquer le plan d'activation. A côté de la législation unique, on trouve en effet des directives transversales, voire des notes de services qui peuvent profondément varier selon les différents bureaux de l'Onem. En conséquence de cela, apparaissent des différences inacceptables dans le traitement des demandeurs d'emploi. Sans remettre en cause la nécessaire prise en compte de la situation individuelle des demandeurs d'emploi ainsi que de la situation de l'emploi au sein des sous-régions, une clarification de divers points de la législation est urgente.

- 4) Malgré le budget très important qui lui est consacré, l'efficacité du plan d'activation des chômeurs, en termes de création d'emploi est par ailleurs discutable.

Une étude réalisée par la KUL et l'ULB montre que les sanctions, et en particulier les exclusions définitives prévues par le plan d'activation, poussent les personnes à se retirer du marché du travail et empêchent donc ces dernières de bénéficier des mesures de mise à l'emploi. Si on se focalise sur les cas d'exclusion définitive via le plan d'activation, il apparait que près d'un demandeur d'emploi sur deux disparait du marché du travail.

- 5) Une proportion importante de sanctionnés affluent directement vers les CPAS Dès lors, le nombre absolu de personnes qui ont demandé l'aide des CPAS a littéralement explosé ces derniers temps. En 2008, 2637 personnes ont du bénéficier du CPAS suite à une sanction de l'ONEM. Cela correspond à 7,2% du nombre total des bénéficiaires du revenu d'intégration en Wallonie. Dans ce cadre, la charge financière pesant sur les CPAS serait alors pour 2008 de plus de 18 millions d'euros. Le gouvernement semble prôner à cet égard la substitution d'une partie de sa politique de l'emploi par une politique d'aide sociale et d'assistance.

Pour Ecolo, il était urgent de prendre des mesures afin de mettre fin à cette politique de chasse aux chômeurs inefficace et socialement catastrophique tout en faisant du soutien à la recherche d'un emploi une priorité. Ecolo demande notamment un renforcement des moyens mis en place par les Régions pour un réel accompagnement personnalisé et des formations de qualité. Pour les écologistes, la recherche d'un emploi doit également être rendue gratuite.

Malgré l'urgence sociale, la majorité fédérale a choisi de ne pas choisir aujourd'hui. Sur un sujet aussi fondamental, ça en devient inquiétant.



Zoé Genot

Députée fédérale
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17 mars 2010 3 17 /03 /mars /2010 10:18
Les rendez-vous avec l'emploi:

Salon de l'emploi 12/03/10 libramont

Après deux éditions, qui ont répondu aux attentes des entreprises comme des personnes en recherche d'emploi, la Province de Luxembourg, la Chambre de Commerce et d'Industrie du Luxembourg belge, le Forem et le Comité Subrégional de l'Emploi et de la Formation du Luxembourg belge ont décidé de poursuivre leur collaboration et de l'amplifier avec, cette année, quatre Rendez-Vous avec l'Emploi sur le territoire provincial :

Le vendredi 12 mars à Libramont - Téléchargez ici le dépliant de présentation

Le mardi 23 mars à Marche-en-Famenne- Téléchargez ici le dépliant de présentation

Le mardi 20 avril à Vielsalm

Le mardi 11 mai à Virton

L'objectif de ce salon est de mettre en contact direct les demandeurs d'emploi et les entreprises qui recrutent. Un mur d'annonces et des boîtes aux lettres seront également mis à disposition des demandeurs d'emploi.

Des tests seront proposés à qui le souhaite afin d'évaluer ses connaissances en langues et en bureautique, et faire le point sur ses aptitudes.

Un espace sera réservé à la rencontre avec des opérateurs de l'insertion professionnelle qui guideront les demandeurs dans leur recherche d'emploi ou de formation.

Des conférences, ateliers et visites d'entreprises seront également proposés au public présent.

 

Infos supplémentaires ?

Direction de l'Economie de la Province de Luxembourg - 063/212.636 - diveco@province.luxembourg.be



Sylvain au pays de win-win

 

 

 

Vendredi 12 mars 2010 à Libramont.

Le salon de l'emploi bat son plein. Sont présents plusieurs centaines de travailleurs sans emploi, plus ou moins contraints, des opérateurs de formation, des boîtes d'intérim, la défense nationale, la police qui recrute ... le tout sous l'égide du Forem.

 

A l'entrée 5 énergumènes avec des vestes rouges. Ils représentent la Commission Régionale des Travailleurs/euses Sans Emploi de la province du Luxembourg et distribuent des tracts, conversent et conseillent les demandeurs d'emploi. Leurs messages : parler de la campagne wallonne de la FGTB pour la suppression des sanctions de l'ONEm à l'égard des chômeurs contrôlés, toujours plus nombreuses, inviter les gens à venir militer avec eux, mettre en garde les personnes qui vont être contrôlées et leur conseiller de prendre contact avec leur syndicat pour se préparer aux contrôles.

 

Sylvain et Vincent interrompent leur distribution de tracts et rentrent se réchauffer à l'intérieur du hall de foire. Ils font le tour des différentes échoppes, qui proposent des formations mais très très peu d'emplois. Une représentante d'un organisme de formation leur dit, en off, qu'elle est présente non pas pour recruter des personnes qui désirent se former, mais pour faire du lobbyisme auprès des politiques, qui sont présents, et pour continuer à recevoir les subsides délivrés par le Forem.

 

Sylvain, 50 ans, chômeur depuis deux ans, a travaillé, donc cotisé, de ses 18 à ses 48 ans, soit trente ans.  Le dépôt de carburant dont il était responsable a mis la clef sous paillasson.

 

Vincent est animateur de leur assemblée syndicale de travailleurs/euses sans emploi.

 

Quelques secondes plus tard le directeur du Forem  et une de ses collaboratrices, les abordent : « Nous préférerions que vous restiez à l'extérieur du salon, nous vous demandons de sortir.

 

Vincent : « Non, il n'est pas question que nous sortions. Sylvain est aussi demandeur d'emploi. De plus, les média se trouvent à l'intérieur et nous voulons pouvoir leur parler ».

 

Les responsables du Forem insistent, sans effet. Le directeur choisit alors une autre tactique. Il s'approche de Sylvain et d'un air très paternaliste lui met la main sur l'épaule en disant que puisqu'il est demandeur d'emploi, il va lui faire visiter le salon.

 

Vincent : « ben oui, ça me semble une excellente idée. On va pouvoir confronter deux univers. D'une part votre formidable initiative de grand messe de l'emploi, où il ne manque que l'emploi, et d'autre part le terrain, c'est à dire Sylvain qui cherche de l'emploi très activement depuis deux ans, qui a une très longue expérience de travail et de nombreuses qualifications, un permis et un véhicule, et qui ne trouve pas de job ».

 

Sylvain : « mais bon j'ai plus de 50 ans et ça ça passe pas chez les employeurs ».

 

Le directeur du Forem, ravi : « plus de 50 ans ! Alors ce qu'il vous faut c'est le plan win-win ! ».

 

Sylvain explique qu'il connait tous les plans miracles, l'activa, le passeport APE..., qu'il a essayé de suivre une formation de chauffeur de car avec le Forem mais qu'il n'a pas été retenu, qu'il a voulu passer la loi Tobback, mais qu'il fallait un pré-contrat d'un employeur pour y avoir accès...

 

Ces considérations ont l'air d'ennuyer le directeur. Il écoute d'une oreille visiblement distraite. Lorsque Sylvain finit de raconter son parcours, Mr Forem, toujours très paternaliste, prend cette fois l'épaule de Vincent, (décidément il aime ça !), et lui dit : « Vous voyez, vous devriez écouter quand on vous parle. Ce qu'il faut à Mr, compte tenu de son âge, c'est le plan win-win ».

 

Là Sylvain change de couleur, il commence à gonfler solidement. Il sort de son porte-feuille son passeport APE, sa carte activa et la feuille attestant qu'il est bénéficiaire du plan win-win, dument remplie. Il remet le tout au responsable Forem. Ce dernier se tait et continue sa visite. Seul. Pensif ?

 

Sylvain : « Tu sais Vincent, sérieusement, le Forem est un frein à l'emploi ».


Conclusion très personnelle de la part de Sylvain :

 

-          Aucunes des autorités (malgré le bien vouloir de certaines) n’a signalé que derrière des « chiffres » manipulés se trouvait un être humain, si ce n’est une famille !

-          Ces mêmes élus, n’ont point parlé, ni de création  

d’emplois et encore moins de maintien de ces même emplois !

-          Ils n’ont même pas parlé de « contrôle des

licenciements »

 

Si prochaine séance il y a, et que toute intervention serait autorisée, il serait bon, s’ils ne veulent suspendre le PAC de réclamer un « PAE », càd : plan d’accompagnement des entreprises, (pme, sa, scrl, etc …) qui  s’ils ont licenciés un ou plusieurs travailleurs (hors faute grave)  « bénéficient » d’un contrôle fiscal complet, et ce, bien entendu étatique !

Si ces licenciements sont illégitimes, mise de l’entreprise sous tutelle, et aide à l’emploi supervisé par les organismes « responsables » ,

 

Si ces entreprises ont bénéficiés de « CHOMEURS », sponsorisés par des plans sociaux, exemple : APE, PTP, ACTIVA, WIN WIN, etc … et que l’on constate qu’il n’y avait pas lieu de licencier, deux choix : amende (forte) + contrôle fiscal tous les ans pendant dix ans, et restitution des aides à l’emploi et subsides divers (…et on l’oublie…ou la nationalise ! )

                                        : exemption de l’amende, mais, réviseur extérieur et contrôle fiscal pendant minimum cinq ans (révisable si bonne volonté !)

Il serait bon aussi que la moitié des divers avantages fiscaux, « légaux » de ces divers plans soient octroyés aux travailleurs afin qu’ils puissent subvenir aux diverses obligations de leur emploi, car ils en ont plus besoin que leur employeur !

 

SI NOUS NOUS TROUVONS FACE A DES MULTINATIONALES AYANT BOUFFE NOS SUBSIDES, NATIONALISONS NOS ENTREPRISES, GARDONS NOS NOMS, LABELS, ET, SURTOUT NOS TRAVAILLEURS, ET NOS OUTILS !!!

 


C.R.T.S.E. Luxembourg

 
 

                                                 

La meilleure défense est l’attaque !

"Travailleurs avec ou sans emploi, même combat"

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8 mars 2010 1 08 /03 /mars /2010 10:36
Marche aux esclaves sur RTL-TVi

 



Marche aux esclaves sur RTBF

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4 mars 2010 4 04 /03 /mars /2010 11:32

offre emploi forem

 

LapinDePaques

 

Un chouette boulot intérim pour distribuer des œufs de Pâques, déguisé en lapin ou en poule ? !!!!!!!!!

 

Un chouette boulot d'animatrice de 'tchat sexe' ? !!!!!!!!!!!!!

 

Vous avez repéré d'autres perles dans ce genre ? N'hésitez pas, envoyez-les nous et nous les publierons.

 

Pour la plus belle offre, vous gagnerez 500g d'oeufs en chocolat! 

 

Damien et Pascal, vos serviteurs.

 

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28 février 2010 7 28 /02 /février /2010 13:30
Voici la vidéo en direct, plus besoin de cliqueter sur le lien. 
Bonne vision à tout le monde.
pour voir la vidéo controversée cliquez ICI
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27 février 2010 6 27 /02 /février /2010 20:54
La CRTSE et la FGTB ont inauguré  le tableau de chasse aux chômeurs avec les chiffres du nombre de chômeurs en province du Luxembourg et le nombre de sanctions,
nous avons aussi déroulé une banderole de plusieurs mètres carrés sur la façade des bureaux de la FGTB.

La presse a été invitée et les principaux journaux ont repris l'information, entre autre notre télévision régionale
TV Lux

Nous tenons aussi à remercier nos camarades de Verviers pour le prêt de la banderole




Les vidéos vues dans le reportage de TV Lux sont disponibles ici

L'article de Actu24.be
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