12 juillet 2010 1 12 /07 /juillet /2010 15:10

Agressions croissantes contre le personnel de l'ONEM

Il y a quelques temps, certains médias relataient le nombre croissant d’agressions commises

envers le personnel de l’ONEM. Cette information inquiétante était accompagnée de données chiffrées incomplètes prêtant à confusion.

Le chiffre de « 105 chômeurs de longue durée radiés » mentionné dans les articles ne concerne en effet que les derniers demandeurs d’emploi victimes de l’ « article 80 », appelé à disparaître. Cette référence tend à gommer les nombreuses exclusions entraînées par le « contrôle de disponibilité des chômeurs » et ne donne donc qu’une information parcellaire.

 

En 2009 :

§  6.530 demandeurs d’emploi ont été exclus définitivement du droit aux allocations de chômage ;

§  7.885 chômeurs ont vu leurs allocations suspendues pendant 4 mois.

 

Ce sont donc 14.415 travailleurs sans emploi qui ont été sanctionnés, soit 55 par jour !

Et nous n’évoquons même pas ici les milliers de demandeurs d’emploi qui ont vu leurs allocations rabotées temporairement…

 

Ces chiffres cachent des conséquences sociales désastreuses et des drames individuels. On ne peut évidemment que condamner les agressions, tant verbales que physiques, commises à l’encontre des travailleurs de l’ONEM. Ils doivent pouvoir exercer leur fonction dans des conditions de sécurité et de bien-être optimales.

Ce phénomène inquiétant est cependant révélateur du climat délétère qui règne depuis l’instauration du « contrôle de disponibilité des chômeurs » et son système de sanctions. Un organisme public en arrive à devoir se protéger des citoyens en faisant appel à la police !

 

La logique injuste et cynique consistant à rendre responsables du sous-emploi ceux qui en sont déjà victimes atteint ici son paroxysme et ses limites. 

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12 juillet 2010 1 12 /07 /juillet /2010 13:57

Agressions croissantes contre le personnel de l'ONEM

L'intéressant dans cet article, c'est le chiffre d'allocations versées par l'Onem. Je cite : « L'ONEM versait l'an dernier une allocation à 1.309.930 personnes, soit 10% de plus qu'en
2008. » et on nous raconte d'une part qu'il n'y a pas tant de chômeurs que cela, d'autre part que le chômage recule...


Et on poursuit ceux qui ne cherchent pas d'emploi...


On en a sanctionné, la même année, 176 028 , pour en exclure finalement 105.


Tout cela est parfaitement ridicule et risible, s'il ne s'agissait de personnes et de familles attaquées dans le cœur de leur vie.


Reprenons :


Si ce que dit l'Onem est exact : il versait des allocations à 1.309.930 personnes.


Pour satisfaire aux exigences de faire travailler tout le monde (le Service de Travail Obligatoire), il suffirait de créer ou de fournir 1.309.930 emplois.


Ce serait raisonnablement le rôle de l'Onem de pourvoir à ces emplois... Le fait-il ? Non.


La Fédération des Entreprises de Belgique le fait-elle ? Non. Elle est tout juste capable d'en fournir, selon ses propres dires, 73.000.


Dès lors, même si tous ces « emplois » étaient comblés, il resterait à créer : 1.309.930 – 73.000 =1.066.930 emplois.


L’État, par le biais de son service spécialisé dans l'emploi – aux dernières nouvelles : l'Office national de l'Emploi – pourrait très bien le faire, mais il ne le fait pas; il se contente de
poursuivre les chômeurs qui ne cherchent pas l'emploi manifestement inexistant et il s'efforce de les exclure des statistiques du chômage de sorte à améliorer son image de marque.


 


Quand on disait que la Belgique est le pays du surréalisme...


Marco Valdo M.I.


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3 juin 2010 4 03 /06 /juin /2010 15:01

http://www.fgtb-liege.be/admin/uploads/images_actu/image264_med.jpg

 

Épisode 3

 

À voir sur : YouTube  et  le site de la FGTB Liège-Huy-Waremme
(Re)voir les épisodes précédents : Ep1 , Ep2

 

Une campagne de sensibilisation de la FGTB Liège-Huy-Waremme en vue des élections du 13 juin.
Une série de 11 clips vidéos illustre et rappelle aux citoyens que la grave crise économique que nous traversons est la conséquence du libéralisme (le laisser-faire) et du capitalisme (le tout au profit).


http://www.fgtb-liege.be 

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3 juin 2010 4 03 /06 /juin /2010 00:32

 

Ce jeudi 3 juin, la présidente du cdH et le co-président d'Ecolo se retrouvent face à face dans Huis Clos. Après l'émission télé, ils répondront à vos questions en exclusivité sur le web.

Huis Clos.Net, visible uniquement en streaming vidéo sur rtbf.be vers 20h25, c'est un quart d'heure d'échanges supplémentaires entre les deux invités de l'émission de Johanne Montay. Le principe : les invités se posent directement l'un à l'autre une série de questions choisies parmi celles que les internautes nous auront soumises.

A vous de jouer, en publiant votre question dans les commentaires de cet article. N'oubliez pas d'indiquer si elle s'adresse à Joëlle Milquet ou à Jean-Michel Javaux, et n'hésitez pas à vous présenter en quelques mots (votre prénom, votre âge, votre profession, et votre localité par exemple).

 

Posez vos questions

 

Gigi a posé une question:

À Joelle Milquet,

 

Avec la chasse aux chômeurs, votre plan d'accompagnement, ce sont des centaines de personnes qui ne pourront plus assumer leur vie, déjà bien difficile, se retrouvant devant des CPAS qui refuseront de les prendre en charge comme c'est déjà pour certains le cas.

En 2004, votre lettre à la plateforme www.stopchasseauxchomeurs.be, vos écrits : "Ce n'est pas la chasse aux quelques chômeurs qui se sont découragés, qui modifiera les choses. On s'attaque aux plus fragilisés de notre société pendant que les plus aisés peuvent rapatrier leurs millions d'euros en toute impunité. On culpabilise les chômeurs et les travailleurs alors que ni les employeurs ni les pouvoirs publics ne prennent leurs responsabilités..."

Avez-vous une idée de ce que vous pourriez faire avec 650 euros en vivant seule, en ayant un loyer (de plus en plus cher), l'eau, l'électricité et le chauffage à payer ?
Imaginez-vous juste un peu ce qu'il vous resterait pour manger normalement, vous soigner, vous vêtir ?
Les Restos du coeur déjà plus que saturés peut être ?

Trouvez-vous décent qu'après toute une vie de dur travail dans les mines et dans les usines, un(e) pensionné(e) n'ait pas plus de 1000 euros pour vivre ? Continuant une vie de misère et devant encore se serrer la ceinture, alors que d'autres reçoivent des milliers d'euros de pensions, c'est honteux de voir de telles différences, surtout qu'il n'y a aucune raison que des militaires ou hommes politiques déjà nantis au départ soient mieux rémunérés pour leur fin de vie ?

Vous ne vivrez pas un jour de votre vie dans une situation pareille de gens qui n'ont plus les moyens nécessaires pour vivre décemment et donc je vous demande vous qui êtes "très famille" quelle solution vous pensez mettre un jour sur pied pour empêcher des milliers de gens hommes, femmes et enfants de n'avoir qu'une seule option, Vivre dans la rue ?

 

et voici la réponse

 

 

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19 mars 2010 5 19 /03 /mars /2010 20:17

Cherchez pas y'a rien...

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19 mars 2010 5 19 /03 /mars /2010 20:08

A l’heure où se tient le débat sur l’accompagnement et le contrôle de la disponibilité des chômeurs, on doit bien constater l’absence de volonté de refonte du système de contrôle pour laisser place à des modifications à la marge. La FGTB tient à rappeler ses positions et les raisons pour lesquelles elle ne peut être satisfaite des orientations prises par la ministre de l’Emploi en la matière.

Pour la FGTB, les problèmes majeurs de ce qui se trouve sur la table du gouvernement aujourd’hui sont que :

- les tentatives de réponses sont défensives: elles s’inscrivent dans une logique de petits pas qui ne prend pas suffisamment en compte la véritable finalité de toute politique d’Emploi digne de ce nom : le maintien et la création d’emplois durables et de qualité dans les activités économiques existantes ou dans de nouvelles filières d’avenir (dans le cadre d’un Plan de relance offensif au niveau national et européen) ;
-les propositions en discussion ne prennent pas suffisamment en compte le contexte socio-économique auquel sont confrontés les travailleurs : chaque jour, 350 emplois passent à la trappe. Ce sont autant de travailleurs condamnés à aller gonfler les rangs du chômage. Ils ne l’ont pourtant pas décidé.
Et l’on n’enraye pas les sanctions ! Pour rappel, dans le cadre de la disponibilité en 2009, 14.415 suspensions ou exclusions ont été notifiées et 3.272 allocations ont été réduites pour les neuf premiers mois de l’année, ce qui correspond à 17.687 sanctions (contre 10.948 suspensions ou exclusions pour l’ensemble de 2008).

Ainsi, la FGTB déplore:

  • que l’on n’ait pas cru bon d’instaurer un moratoire du contrôle de disponibilité puisque les travailleurs qui ont été licenciés ou qui sont sans emploi sont, pour la grande majorité d’entre eux, confrontés à l’absence d’emploi (32 demandeurs d’emploi (voire plus) pour une offre d’emploi dans certaines sous régions) ;
  • que l’on ne souhaite manifestement pas mettre le holà au harcèlement administratif dont sont victimes les travailleurs sans emploi. Un accompagnement individualisé au niveau régional devrait en effet pouvoir libérer le chômeur d’un contrôle supplémentaire au niveau fédéral ;
  • que l’ONEM doive encore intervenir quand le demandeur d’emploi a fait l’objet d’un rapport positif de la part du conseiller emploi (FOREM, ACTIRIS, VDAB) ;
  • que les +50 ans continuent à faire l’objet des procédures mises en place…Va-t-on vraiment aller demander à un travailleur qui serait licencié de chez Carrefour et qui a plus de 50 ans pourquoi il ne retrouve pas de travail ?

Certaines propositions en discussions sont en demi-teinte mais constituent néanmoins un allègement des dispositifs pour les demandeurs d’emploi. On pense en particulier:

  • à l’accompagnement adapté pour les demandeurs d’emploi « éloignés du travail ». Cependant, le problème reste entier et la clarté n’est pas faite sur ce que l’on entend par « éloigné de l’emploi » ;
  • au traitement identique des travailleurs à temps-partiels, réclamé par la FGTB ;
  • à la fin du carrousel de contrôle après le troisième entretien positif, tel que demandé par la FGTB ;
  • à la dispense de contrôle pour tout demandeur d’emploi qui a entamé une formation.


Pour la FGTB, force est de constater que la procédure de contrôle de disponibilité n’a pas atteint les objectifs escomptés (remise à l’emploi d’un maximum de chômeurs), a fortiori aujourd’hui, en période de crise économique.

Etant donné le contexte économique et l'impossibilité d'offrir des emplois en nombre suffisant aux demandeurs d'emploi, la FGTB continue à réclamer l’accompagnement accru des chômeurs ainsi qu’un moratoire du système de contrôle de disponibilité avant sa réforme en profondeur.

 

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19 mars 2010 5 19 /03 /mars /2010 20:06
17.3.2010

Nouvelle proposition du gouvernement pour l’accompagnement et le suivi des chômeurs: un grand pas en avant!
La CSC a pris connaissance des nouvelles propositions du gouvernement fédéral qui visent à adapter la politique d’accompagnement et de suivi des chômeurs. Même si ces propositions ne répondent pas à tous les problèmes qui se posent aujourd’hui, la CSC les considère comme un grand pas en avant:

Elles sont conformes au consensus dégagé en 2008 entre partenaires sociaux au sein du Comité de gestion de l’ONEm 2008;
Elles ont été élaborées en commun par les fonctionnaires dirigeants de l’ONEm, du VDAB, du Forem et d’Actiris;
Elles tiennent compte des demandes des Régions, qui souhaitaient une autonomie accrue pour concrétiser les plans d’accompagnement, tout en maintenant l’application uniforme de la réglementation concernant le chômage dans tout le pays;
Elles répondent aux revendications de la CSC et des Régions, qui demandent un accompagnement et un suivi adaptés des travailleurs sans emploi qui sont éloignés du marché de l’emploi;
Et surtout, elles peuvent contribuer à rendre le suivi et l’accompagnement des chômeurs plus efficaces et plus personnalisés.
La CSC demande toutefois que la concertation se poursuive sur plusieurs points qui ne figurent pas pour le moment dans le texte du gouvernement:

Des sanctions plus humaines et harmonisées, en particulier pour les jeunes en fin de scolarité,
L’accès aux mesures pour l’emploi et aux ALE pour les chômeurs sanctionnés,
La dispense pour les personnes qui travaillent déjà à temps partiel.
La CSC reste d’avis que l’assurance-chômage est basée tant sur des droits que sur des devoirs. Sans devoirs, les droits seraient eux aussi remis en cause. La CSC demande cependant que toutes les institutions appliquent le cadre adapté en faisant preuve de l’humanité et de l’équité requises, compte tenu des lourdes conséquences de la crise financière sur le marché de l’emploi. Ce ne sont pas les chômeurs qui ont provoqué la crise financière.

Diana DE CROP, responsable des relations presse, 02.246.32.84.

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18 mars 2010 4 18 /03 /mars /2010 11:07
Bruxelles, le 9 mars 2010



Pas d'accord au sein de la majorité sur la révision de la politique de chasse aux chômeurs

La majorité a choisi de ne pas choisir et poursuit sa politique inefficace et socialement catastrophique

Ce mardi 9 mars, une évaluation de la politique d'activation des chômeurs a été réalisée en commission « affaires sociales » de la Chambre. Malgré le désastre social provoqué, le gouvernement n'a pas réussi à s'accorder pour réformer cette politique.

Face aux nombreuses critiques, émanant notamment de plusieurs conseils communaux, et vu le contexte de crise actuel qui laisse émerger peu d'offres d'emploi, les partenaires de la majorité fédérale avaient enfin décidé de réagir en organisant aujourd'hui l'évaluation que nous demandons depuis longtemps. Cette évaluation n'a débouché sur aucune mesure corrective, légitiment espérée, faute d'accord au sein du gouvernement.

La politique d'activation des chômeurs a été mise en place par la majorité violette en 2004. Cette politique a rapidement transformé l'accompagnement des demandeurs d'emploi et la lutte, essentielle, contre le chômage et en une chasse éhontée, aboutissant à l'exclusion du chômage d'un grand nombre des demandeurs d'emploi et à une diminution artificielle des chiffres du chômage. Plusieurs points noirs du plan sont ainsi rapidement apparus :

- 1) Il apparait clairement que ce sont les plus faibles qui sont dans une très large majorité victimes de ces exclusions : les familles et isolés avec les qualifications les plus faibles, les personnes souffrant d'analphabétisme ou de problèmes sociaux et de santé importants. En somme, ces exclusions touchent les plus précarisés des précarisés.

- 2) Une série de sanctions apparaissent comme tout simplement surréalistes. Citons ainsi à titre d'exemple :

· les demandeurs d'emploi qui sont exclus parce qu'ils ne seprésentent pas pour une place pour laquelle ils ne sont pas qualifiés,

· les personnes ne sachant ni lire ni écrire, ne possédant ni cv ni lettre de motivation qui sont pourtant obligées de répondre à 3 offres d'emploi par mois sans que ne leur soit proposé de réaliser un CV et une lettre de motivation avec l'aide du Forem, d'Actiris ou du VDAB,

· ...

- 3) Pour les facilitateurs de l'Onem, il manque de balises claires afin d'appliquer le plan d'activation. A côté de la législation unique, on trouve en effet des directives transversales, voire des notes de services qui peuvent profondément varier selon les différents bureaux de l'Onem. En conséquence de cela, apparaissent des différences inacceptables dans le traitement des demandeurs d'emploi. Sans remettre en cause la nécessaire prise en compte de la situation individuelle des demandeurs d'emploi ainsi que de la situation de l'emploi au sein des sous-régions, une clarification de divers points de la législation est urgente.

- 4) Malgré le budget très important qui lui est consacré, l'efficacité du plan d'activation des chômeurs, en termes de création d'emploi est par ailleurs discutable.

Une étude réalisée par la KUL et l'ULB montre que les sanctions, et en particulier les exclusions définitives prévues par le plan d'activation, poussent les personnes à se retirer du marché du travail et empêchent donc ces dernières de bénéficier des mesures de mise à l'emploi. Si on se focalise sur les cas d'exclusion définitive via le plan d'activation, il apparait que près d'un demandeur d'emploi sur deux disparait du marché du travail.

- 5) Une proportion importante de sanctionnés affluent directement vers les CPAS Dès lors, le nombre absolu de personnes qui ont demandé l'aide des CPAS a littéralement explosé ces derniers temps. En 2008, 2637 personnes ont du bénéficier du CPAS suite à une sanction de l'ONEM. Cela correspond à 7,2% du nombre total des bénéficiaires du revenu d'intégration en Wallonie. Dans ce cadre, la charge financière pesant sur les CPAS serait alors pour 2008 de plus de 18 millions d'euros. Le gouvernement semble prôner à cet égard la substitution d'une partie de sa politique de l'emploi par une politique d'aide sociale et d'assistance.

Pour Ecolo, il était urgent de prendre des mesures afin de mettre fin à cette politique de chasse aux chômeurs inefficace et socialement catastrophique tout en faisant du soutien à la recherche d'un emploi une priorité. Ecolo demande notamment un renforcement des moyens mis en place par les Régions pour un réel accompagnement personnalisé et des formations de qualité. Pour les écologistes, la recherche d'un emploi doit également être rendue gratuite.

Malgré l'urgence sociale, la majorité fédérale a choisi de ne pas choisir aujourd'hui. Sur un sujet aussi fondamental, ça en devient inquiétant.



Zoé Genot

Députée fédérale
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8 décembre 2009 2 08 /12 /décembre /2009 00:00

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Moratoire sur le dispositif de contrôle de la disponibilité des chômeurs –

Le PS Luxembourgeois se rallie à la FGTB

 

 

Le Comité Fédéral du PS Luxembourgeois, réuni ce lundi 7 décembre 2009 a décidé de soutenir l’initiative portée par la FGTB wallonne relative à la politique d’accompagnement des chômeurs en Wallonie.

 

En effet, la FGTB lance actuellement une campagne visant à l’application d’un moratoire par le Gouvernement Fédéral sur la mesure de contrôle de la disponibilité des chômeurs, lancée en 2004, qu’elle estime inadaptée au marché de l’emploi actuel.

 

Le PS Luxembourgeois tient à se joindre à cette action portée par le syndicat socialiste.

 

Il rappelle son attachement à une politique d’accompagnement des chômeurs justement réfléchie et qui ne s’apparente pas à une « chasse à l’homme » aussi improductive qu’irrespectueuse envers l’écrasante majorité d’entre eux, en instabilité voire parfois en détresse sociale…

 

Malgré des indicateurs économiques de relance, la crise financière mondiale qui touche notre pays et notre province n’a malheureusement pas terminé de faire des dégâts, notamment en matière d’emploi.

 

En cette période troublée, il nous semble fondamental de se battre pour une politique sociale juste, équitable, et qui tient compte de la réalité des difficultés sur le terrain et de la vie quotidienne.

 

Les prochaines semaines verront donc un soutien marqué de nombreux mandataires socialistes Luxembourgeois pour cette motion.

 

 

  Sébastian PIRLOT                                Philippe COURARD

    Secrétaire Fédéral                                         Président Fédéral

 

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